Cabinet Yann Botrel

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  • Quelle est la différence entre psychiatre, psychologue, psychanalyste et psychothérapeute ?

    On entend très souvent parler de ces professionnels sans toutefois pouvoir clairement faire la différence entre eux. Vous pourrez vouloir consulter un psychiatre ou un psychologue mais avant, vous voulez savoir lequel est le mieux recommandé pour votre problème. Ils sont assez nombreux dans le Rhône ou à Lyon. Voici quelques éléments de réponse qui vous permettront de distinguer chacun d'entre eux le moment venu.

     

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    Quelle différence entre psychiatre et psychologue ?

    Une multitude de points fait la différence entre ces deux professionnels. Voici les détails à prendre en compte pour savoir lequel des psys est le mieux placé pour résoudre votre problème.

    Psychiatre

    Tout commence par le nombre d'années d'étude nécessaire pour avoir ce titre. Pour être psychiatre, il faut avoir un doctorat, c'est-à-dire 10 ans d'études universitaires. C'est en effet le seul professionnel de la santé mentale habilité à faire un diagnostic auprès des patients. En effet, il est médecin ayant suivi 6 années de tronc commun et 4 ans de spécialisation pendant lesquels il suit une formation pratique auprès des patients.

    Notez donc qu'aucun autre professionnel de la santé mentale n'a de droit légal d'exercer en tant que médecin que ce soit à Lyon ou dans le Rhône. Il a pour mission d'établir un diagnostic psychiatrique après avoir éliminé toute cause organique. Il est également le seul à pouvoir prescrire un traitement médical au patient.

    D'un autre côté, il peut déléguer certaines de ses obligations envers le patient auprès d'un psychologue. De plus, il peut également pratiquer la psychothérapie sur ses patients ou faire appel à un psychothérapeute en fonction du problème et de sa disponibilité.

    Psychologue

    Vous avez besoin d'une oreille attentive à Lyon vers qui vous tourner quand vous êtes à bout, le psychologue est la personne qu'il vous faut. Le psychologue clinicien est la personne indiquée pour établir des diagnostics psychologiques que ce soit à Lyon ou dans le Rhône. Après le diagnostic psychiatrique, le médecin pourrait vous confier à un psychologue qui s'occupera de la psychothérapie.

    Vous aimerez sûrement savoir quel est votre quotient intellectuel, n'hésitez pas à vous rapprocher de ce professionnel. Malgré toutes ses qualités, il n'a pas le pouvoir d'établir un diagnostic médical ni de faire des prescriptions. De plus, celui-ci n'est même pas considéré comme étant un professionnel de la santé. Tout comme un psychiatre, il peut ajouter des spécialisations à son cursus pour exercer comme psychanalyste ou thérapeute familial.

    Pour ne pas faire d'erreur, il existe des neuropsychologues, des psychologues cliniciens, des psychologues du travail, etc. Chacun d'entre eux, en plus des missions communes, a une mission à part. On peut ainsi dire que les deux professionnels sont des psychothérapeutes en plus de leur principale mission. Par contre, le psychiatre étant médecin, il est formé pour diagnostiquer les maladies physiques et psychiques.

    Qu'entend-on par psychanalyste ?

    Il est important de noter dans un premier temps que le psychologue ou le psychiatre peuvent se sur-spécialiser en psychanalyse. Toutefois, l'inverse ne saurait être possible. Celui-ci ne se forme pas dans une université mais plutôt dans des sociétés savantes de psychanalyse. La particularité de cette profession est que l'analyste n'a pas de ligne directrice pour exercer son métier.

    Il n'y a donc pas de formation spécialement conçue car elle est basée uniquement sur du vécu. Sigmund Freud a fondé cette discipline dans le but de traiter les patients présentant des troubles d'ordre névrotique ou psychologique. Le principe consiste à écouter et analyser le patient en se basant sur son histoire, ses émotions ainsi que ses rêves. C'est celà qui rend chaque cas unique.

    Psychothérapeute : de qui parle-t-on ?

    Ce titre était autrefois porté par des personnes qui n'avaient aucun support légal attestant de leur capacité à exercer dans ce domaine. Depuis quelques années, cette façon d'exercer a été bannie. Dans un premier temps, les seuls professionnels qui ont acquis le pouvoir d'exercer comme psychothérapeute au cours de leur formation sont le psychiatre et le psychologue.

    Pour les autres, il leur faudra désormais suivre une formation allant de 200 à 400 heures de formation théorique couronnée d'un stage d'une durée de 2 à 5 mois. Dans ce cas, après que le psychiatre ait établi son diagnostic et prescrit le traitement approprié, s'il faut faire de la thérapie, il pourra le faire personnellement. D'un autre côté, il peut confier la tâche à un psychologue ou un psychothérapeute ayant reçu sa formation comme prévu.

    Psychanalyste ou psychologue ?

    La psychanalyse est une discipline permettant de régler les problèmes inconscient afin de faire disparaître leurs symptômes. Cela peut se manifester par la phobie, la dépression et bien d'autres. Plusieurs raisons peuvent justifier que vous consultez un psychanalyste à Lyon ou dans le Rhône comme des questions existentielles.

    Lorsque vous traversez des situations difficiles dans votre vie comme une rupture amoureuse, un décès, une crise de panique et bien d'autres vous pourrez consulter un psychanalyste. Il vous est possible de faire cette consultation en plus d'un traitement psychiatrique. Un tiers des psychanalystes seraient des psychiatres et un autre tiers serait assuré par des psychologues. C'est le dernier tiers qui revient aux personnes n'ayant pas une formation spécifique et sont appelés à en acquérir pour exercer légalement.

    Comment reconnaître ces quatre professionnels ?

    Un psychiatre est un médecin de formation. Autrement dit, il fait 6 années de formation en médecine et se spécialise en psychiatrie pendant 4 ans de plus. En somme, sa formation est de 10 ans après le baccalauréat. Quant au psychologue, celui-ci suit un cursus universitaire en psychologie couronné d'un master 2. Tout comme le psychiatre, il peut remplir le rôle de psychothérapeute ou de psychanalyste.

    La seule chose à faire est de se sur-spécialiser dans ces domaines. Le psychanalyste, lui, n'est pas reconnu par la loi. Par ailleurs, il suit une formation dans des sociétés savantes de psychanalyse dont chaque séance est unique car basée sur du vécu. Le psychothérapeute est un professionnel qui exerce après avoir suivi une formation de 200 à 400 heures en plus d'un stage de 2 à 5 mois.

    Sa mission consiste principalement à écouter son patient pour apporter des réponses à ses préoccupations, il peut faire usage de l'hypnose et bien d'autres techniques. De tous ceux-ci, seul le psychiatre est reconnu comme étant un professionnel de la santé. Si vous êtes dans le besoin des soins thérapeutiques à Lyon ou dans le Rhône, vous savez désormais à qui vous adresser.

  • Tout savoir sur Sigmund Freud et sa pensée

    Considéré comme l'une des figures emblématiques de la philosophie, Sigmund Freud n'est plus à présenter aux amoureux de la discipline de Socrate. Il est très connu pour son invention de la psychanalyse mettant en relief la psychologie, sa théorie sur les notions de conscient, d'inconscient, de refoulement, de rêve, de transfert ou encore de complexe d'Œdipe. Si vous souhaitez tout savoir sur ce psychologue qui a révolutionné la conception du psychanalysme humain, lisez cet article.

     

    Freud

    Bref aperçu de la vie de Sigmund Freud

    Il est né le 6 mai 1856 à Freiberg, en Moravie, en actuelle République Tchèque, dans une famille juive. Sigmund Freud, puisque c'est de lui qu'il s'agit, a connu une enfance particulière.

    En effet, pendant qu'il séjournait dans ses trois ans, son père nommé Jacob Freud se retrouvera au cœur d'une faillite. En 1860, la famille du petit Sigmund va s'envoler vers Vienne dans l'optique de tenter sa chance.

    En fuyant une ville bâtie sur l'antisémitisme au profit de sa nouvelle destination, Freud aura la possibilité de faire de brillantes études scientifiques. Ce qui le faire découvrir les livres de Shakespeare, d'Homère, de Schiller et de Goethe.

    Alors qu'il n'avait que 8 ans, il aura la passion de lire ces auteurs. L'année 1881 sera celle où Sigmund Freud va devenir docteur en médecine. Au début, il s'intéresse à la neurologie.

    Il a fallu quatre ans après pour que le jeune médecin décoche une bourse d'étude qui lui permettra de prendre la destination de la France. Il atterrit précisément à l’hôpital de la Salpétrière à Paris.

    De là, il va suivre les enseignements du professeur Jean-Martin Charcot, l’un des neurologues les plus réputés de l’époque, notamment pour ses travaux sur l’ hystérie et l’hypnose. À son retour à Vienne, Sigmund Freud s'établit comme médecin psychologue.

    Il se spécialise dans la psychologie en traitant des maladies nerveuses. Il se met dans la posture du professeur Charcot dont il défend les théories. Dans cette lancée, le jeune psychologue va prononcer en 1886 un discours

    Lequel décrira devant la Société des Médecins de Vienne l'hystérie chez le sexe masculin. Ce faisant, Freud remet en cause l'idée selon laquelle cette maladie était typiquement féminine et qui était devenue virale à l'époque.

    Il est tollé de ses confrères qui le mettent au ban de leur société. Dans la même période, il se marie à Martha Bernays, à qui il est fiancé depuis longtemps. Le couple aura six enfants, dont Anna Freud, qui deviendra psychanalyste.

    Les pensées du psychologue Freud

    A cette époque, le médecin psychologue se sert de l'électrothérapie et l' hypnose pour traiter des individus atteints de maladies psychologiques. Mais très vite il laisse cette méthode dont les résultats étaient spectaculaires mais peu durables.

    Dès lors, en collaboration avec son ami Joseph Breuer aussi médecin et physiologiste autrichien, il publie en 1895 Etudes sur l’hystérie. Il s'agit d'un livre qui fait état des différents cas traités par les deux médecins depuis 1893.

    Dans le lot, figure le cas d'une femme supposée hystérique, patiente de Joseph Breuer. Ce dernier la considère comme l'exemple type d'un nouveau type de cure, qu'il nomme cathartique.

    Le principe consiste à faire narrer au malade placé sous hypnose des évènements jonchés de traumatismes et enfouis dans ses souvenirs et à l'en libérer par l'expression de cette parole.

    Naissance de la psychanalyse basée sur la psychologie

    Le jeune médecin psychologue passe tout son temps à étudier ce cas, si bien qu'il finit par développer une nouvelle approche. Celle-ci se focalise sur une exploration de la vie psychique consciente et inconsciente.

    Cette approche est également basée sur une étude de la part visible de la conscience humaine, et de celle qui, de façon invisible, affleure :

    par les rêves

    par les lapsus

    par les mots d'esprit

    par les actes manqués

    Freud a attendu 1896 pour donner à son approche le nom de « psychanalyse » tout en clarifiant son objectif. Lequel consiste à dénouer des troubles psychiques médicalement inexplicables.

    Cette approche comprends entre la psychologie de développement, la psychologie de respiration, etc qui entrent dans le fonctionnement psychique de l'homme.

    À partir de là, le spécialiste de la psychologie va fonder sa théorie du conscient, du pré-conscient et de l'inconscient. Cela a été la toute première révolution dans la représentation fu psychisme.

    Après le décès de son père survenu quelques temps après, Freud entreprend de « s’auto-analyser » grâce à la correspondance soutenue qu’il entretient avec son ami, le docteur Fliess. Cela va alors se concrétiser par la mise en évidence progressive :

    du principe de refoulement

    du complexe d'Œdipe

    de la théorie du transfert

    de l'interprétation des rêves

    Et ce, en partant de ses propres souvenirs et de ses propres rêves qu'il va dénuder dans un livre éponyme, qui paraît en 1900. À travers cet ouvrage, le psychologue décrit pour la première fois le concept d’ association libre.

    Il faut comprendre par là, l'un des principes fondamentaux de la psychanalyse dont l'idée est d'amener le malade à exprimer de façon spontanée tout ce qui lui traverse l'esprit. Tous ces efforts lui valent en 1902 sa nomination de professeur titulaire à l'Université de Vienne.

    Au bout de trois années plus tard, Freud fait paraître le Cas Dora, la première narration d'une analyse, ainsi que Trois essais sur la théorie sexuelle, dans lesquels il expose sa théorie sur la place de la sexualité dans le développement de la personnalité.

    La théorie freudienne s'exporte

    Très vite, un groupe de sympathisants va se former autour de l'auteur parmi lesquels Carl Gustav Jung, psychiatre et essayiste suisse, fondateur de la psychologie analytique. Leur rencontre date de 1907, année à partir de laquelle les deux hommes vont entretenir une correspondance.

    Mais cette relation ne va pas durer longtemps, car des divergences ne tarderont pas à prendre place entre eux. En effet, Jung bat en brèche l’approche analytique et l’élaboration freudienne de la structure de l’inconscient. Dans les années 1910, ils se séparent.

    Au cours de la même période, l'approche psychanalytique de Freud s'exporte outre-Atlantique et va permettre à l'auteur d'être invité par le professeur Stanley Hall, philosophe et psychologue à la Clarck University, aux Etats-Unis. Et fait de nombreux adeptes.

    L'année 1920 marquera le publication d'un autre ouvrage intitulé Au-delà du principe de plaisir. Il s'agit d'un livre important qui développe la théorie des pulsions de mort (Thanatos) et de vie (eros) qui cohabitent dans chaque être, défini par le Moi, le Ca, et le Surmoi.

     

  • Alerte sur la pratique du chemsex

    Qu'est ce que le chemsex ?

    Contraction de "chemical sex", le sexe sous drogue. C'est utiliser des substances psychoactives ou drogues à des visées sexuelles dans le but de faciliter, intensifier et prolonger l'acte sexuel. Si le sexe sous produit a toujours existé, c'est un phénomène caractérisé dans les années 2010 avec l'arrivée de nouvelles drogues appelées "Les nouveaux produits de synthèse". 

    Ce sont des substances fabriquées en laboratoires, essentiellement en Chine ou aux Pays-Bas, ayant pour but d'imiter l'effet de substances bien connues comme la feuille de Khat avec un effet euphorisant. (La famille des cathinones)

     

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  • Ce qu'il faut savoir sur la dépression saisonnière

    Depression lyon

    La santé de l'homme est souvent soumise à des maladies. Certaines maladies ont une fréquence ou saison d'apparition chez l'homme. C'est le cas de la dépression saisonnière. Elle est en vogue et fait plusieurs victimes dans le monde. Pour plusieurs raisons, l'homme en est atteint et subit ses dommages. Ainsi, on se demande quelles peuvent en être les causes de ce mal ? Comment se manifeste-t-il ? Quelles sont les solutions à employer contre cette maladie ? Lisez cet article pour en savoir plus.

    Définition de la dépression saisonnière

    La dépression saisonnière est une maladie qui affecte le cerveau. C'est un trouble affectif que l'homme rencontre suite au déficit de lumière naturelle. Elle apparaît chez l'individu à un moment fixe de l'année, raison pour laquelle on l'appelle dépression saisonnière. Le plus souvent, cette maladie surgit en hiver. En effet, les journées sont très courtes en hiver, ce qui est dû à l'absence de lumière. Selon la médecine, on parle de dépression saisonnière lorsqu'elle survient chez l'individu pendant deux saisons consécutives.

    Quelles sont les causes de la dépression saisonnière ?

    Comme on l'a souligné précédemment, la dépression saisonnière est le fruit de la baisse de luminosité chez l'homme. En effet, il y a des gens qui sont très sensibles à l'obscurité. Ainsi, quand la lumière est presque absente, la mélatonine est affectée. Or, la mélatonine est un neuromédiateur dans le cerveau humain qui se charge de la régulation du rythme circadien pertinent. Cette mélatonine est le plus souvent déclenchée sous l'effet de la lumière sur la rétine. Ainsi, les patients observent leur horloge biologique interne se dérégler. À cet effet, les patients se retrouvent progressivement dans la dépression saisonnière.

    Quels sont les symptômes de la dépression saisonnière ?

    La dépression saisonnière a des signes qui la font remarquer chez l'individu. Au nombre de ces symptômes, il faut noter que le patient pressent la fatigue. Il est tout le temps fatigué et manque d'énergie pour réagir de façon prompte face à une situation. De même, le sujet souffrant de ce mal est souvent irrité. Si vous souffrez de ce mal, vous aurez aussi des troubles de l'humeur, ce qui vous plongera dans une tristesse permanente. Par ailleurs, la dépression saisonnière se fait remarquer aussi par la baisse de libido chez l'homme. Ainsi, l'homme a de difficulté à se mettre en érection malgré les stimulations à lui faites.

    Un autre symptôme de la dépression saisonnière est la dévalorisation de soi. Autrement dit, le patient n'a plus aucune estime pour lui-même. Sa vie n'a plus de valeur à ses yeux et il préférerait même mourir que de vivre. Aussi, ce mal se traduit par le manque de concentration. Une fois que vous en êtes atteints, vous aurez du mal à se concentrer pour mieux réfléchir face à une situation et se décider. De même, le manque d'envie atteint son paroxysme si vous souffrez de la dépression saisonnière.

    Qui faut-il consulter en cas de dépression saisonnière ?

    La dépression saisonnière est un mal que peut diagnostiquer un médecin généraliste. Mais eu égard à la subtilité de ce mal, il est préférable de faire recours à un psychiatre. En effet, les psychiatres sont mieux outillés pour détecter ce mal. À l'aide des séances de la luminothérapie, ils peuvent faire la nuance du type de dépression que souffre le patient. Ainsi, s'il s'agit réellement de la dépression saisonnière, les séances de luminothérapie vont le confirmer.

    À quel moment faut-il faire un test sur la dépression saisonnière ?

    Le test sur la dépression saisonnière ne doit pas se faire de façon maladroite. Il faut donc prendre le soin d'analyser le mal dont on souffre. Ainsi, quand vous verrez que les symptômes suscités se retrouvent à votre niveau, alors vous pouvez consulter un médecin qui saura vous orienter. Le diagnostic se fait en posant des questions au patient sur les manifestations de ce trouble dans son organisme. Vous pouvez aussi faire ce test quand vous constatez que le mal se met à troubler considérablement votre vie quotidienne. On peut aussi diagnostiquer ce mal en faisant l'hypnose.

    Comment lutter contre la dépression saisonnière ?

    La lutte contre la dépression saisonnière passe par l'association de la psychothérapie et la luminothérapie. La luminothérapie permet essentiellement de compenser le manque de lumière sur la rétine. Pour y parvenir, les psychiatres soumettent les patients à des séances qui sont faîtes tous les matins à partir du mois d'octobre et de novembre. L'objectif est d'éviter l'obscurité dans la vie du patient tout en la remplaçant par la lumière. Ce traitement se poursuit le plus souvent jusqu'au printemps. Aussi, le patient dans sa maison, peut marcher sous le soleil tous les matins afin de cumuler assez de lumières sur sa rétine.

    Par ailleurs, il est demandé aux personnes souffrant de la dépression saisonnière de consommer la vitamine D. En la prenant, cela agit sur le moral de l'individu. Aussi, les capacités de concentration et de mémoire sont améliorées par la consommation de la vitamine D. Un traitement médicamenteux peut être privilégié quand la dépression s'avère très sévère chez le patient.

    Dans l'objectif de lutter contre la dépression saisonnière, il est aussi demandé aux patients de changer leur cadre de vie en temps d'hiver. En effet, comme l'absence de lumière est la cause de ce mal, il urge donc de choisir un milieu plus éclairé. Ainsi, vous pouvez opter pour les destinations les plus soumises aux rayons solaires. Si votre pays est soumis à des variations de climat et de température, vous pouvez se déplacer à l'intérieur du pays pour atterrir dans la zone le plus favorable. S'il y a lieu que vous sortez carrément du pays pour profiter d'autres horizons rentables à cet effet, vous pouvez le faire.

    Quelles sont les conséquences de la dépression saisonnière ?

    La dépression saisonnière comme on l'a mentionné plus haut a des symptômes très graves sur la vie de l'homme. Ainsi, quand le traitement échoue, certains patients perdent le goût de la vie. Ils ne sont plus motivés à vivre comme les autres. Ils vivent dans le désespoir et se négligent complètement. Du coup, certains patients sont même poussés vers le suicide. De même, on a du mal à appartenir à la société.

  • La petite histoire de l'hypnose

    Étudiée depuis le XVIIIe siècle, l’hypnose est une pratique qui nous permet de mieux utiliser notre cerveau en activant les pouvoirs d’autoguérison grâce aux activités réalisées pendant l’état modifié de conscience. Cette pratique courante nécessite de vouloir connaître davantage son essence. En partant des auteurs, de toutes ces personnes qui ont travaillé dans l’ombre et de ceux qui l'ont expérimenté au départ pour qu’il devienne célèbre de nos jours.

    À travers cet article, nous vous présenterons l’histoire, de la genèse à nos jours de l’hypnose.

     

    Milton erickson

    L'hypnose et ses effets thérapeutiques ont été étudiés dès le XVIIIe siècle

    L'hypnose vient du grec hupnos, qui signifie sommeil. Le dieu grec du sommeil s'appelle Hypnos. Le premier processus hypnotique humain a été découvert sur des pilules égyptiennes datant de 3000 av.

    Les rituels chamaniques sont pratiqués partout dans le monde et sont souvent comparés à un état d'hypnose.

    En 1773, le médecin allemand Franz Anton Mesmer fut le premier à tenter d'expliquer le phénomène de l'hypnose. Sa théorie du « magnétisme animal », également appelée « hypnotisme », est considérée comme la pionnière de l'hypnotisme moderne. Il a décrit l'existence d'un fluide magnétique universel qui peut être utilisé pour le traitement. Cependant, l'Académie des sciences de Paris refusa de reconnaître le magnétisme animal en 1784 et condamna sa pratique. De même, le comité scientifique nommé par le roi Louis XVI a réfuté cette théorie et attribué le succès du traitement de Mesmer à des mécanismes psychologiques.

    Cependant, le concept de magnétisme existe toujours et est adopté par de nombreux médecins. Le chirurgien britannique James Esdaile (1808-1859) qui travaillait en Inde a effectué 345 opérations en utilisant "l'hypnose". Il a décrit chacun d'eux comme ayant une bonne analgésie et une faible mortalité. Il devient professeur à l'Université de Londres en 1831, mais sous la pression du journal The Lancet, il doit démissionner en 1838, ce qui rejette sa démarche et sa conclusion.

    Cependant, les recherches se poursuivent et, en 1841, l'ophtalmologiste James Braid propose la théorie de l'unité, selon laquelle se concentrer sur une seule pensée conduit à un état de sommeil neurologique. Par conséquent, il a jeté les bases scientifiques de ce qu'il a finalement appelé « l'hypnose ».

    À partir de 1846, dans le contexte de l'introduction de l'anesthésie à l'éther et au chloroforme, la pratique de l'hypnose diminue rapidement.

    Ce n'est qu'en 1891 que l'hypnose revient au centre de la scène. Cette année-là, la British Medical Association a chargé une équipe de médecins d'enquêter sur l'hypnose. Après une évaluation complète, le comité d'experts a conclu qu'il est efficace dans le traitement de la douleur, des troubles du sommeil et des symptômes fonctionnels. En 1892, l'association en recommande même à l'unanimité son application thérapeutique.

     

    Vision moderne de l'hypnose avec le psychiatre américain Milton Erickson (1901-1980)

    Son approche innovante repose sur sa conviction que le patient lui-même a les ressources pour répondre adéquatement à la situation rencontrée : il s’agit donc de l’encourager à utiliser ses compétences et ses possibilités d’adaptation personnelles. Dès lors, l’usage suggéré permet de s’affranchir des méthodes autoritaires qui sont parfois encore utilisées pour l’hypnose de spectacle. Milton Erickson (Milton Erickson) a souffert de la polio à l’âge de 17 ans. Lors de sa réadaptation, certains phénomènes qu’il met ensuite en application auprès de ses patients.


     

    Nécessité d'une recherche scientifique approfondie au XXIe siècle

    La première revue détaillant les effets de l'hypnose a été publiée en allemand en 2002. En 2003, le comité consultatif scientifique allemand de la psychothérapie a rédigé un rapport d'évaluation sur l'efficacité de l'hypnothérapie. Sa conclusion est qu'il peut être considéré comme une technologie scientifiquement efficace qui peut être utilisée pour traiter les facteurs mentaux et sociaux des maladies physiques des adultes, pour traiter la toxicomanie, ainsi que le sevrage du tabac et de la méthadone.

    De nos jours, l'hypnose est de plus en plus reconnue par les gens. Le corps médical forme les urgentistes à se détendre et à soulager la douleur de certains patients. Il a également commencé à prendre place dans la salle d'opération d'anesthésie.

    C'est le début d'une nouvelle ère de l'hypnose clinique, et l'efficacité de l'hypnose clinique souvent observée de nos jours repose sur des faits objectifs, notamment obtenus grâce à la neuro-imagerie fonctionnelle.


     

    Qui peut être hypnotisé ?

    À cette question, les professionnels du domaine s’accordent à dire que tout le monde peut être hypnotisé. Cependant, les techniques varient d’une personne à une autre. Afin de faire entrer chaque individu dans une transe hypnotique, les techniques thérapeutiques sont variables. Par exemple, pour des personnes qui ne croient pas à l’hypnose ne seront pas abordées de la même façon par le psychologue spécialisé que des individus très enthousiastes quant à cette forme alternative de traitement.

    Pour une séance réussie d'hypnose, il faut de la confiance. Se faire hypnotiser peut être effrayant, car cela ne dépend plus de nous, l’on est dépourvu de sa conscience pendant la séance. Avec le bon thérapeute, alors la séance pourra avoir lieu en toute sérénité.

     

  • Les différentes phases du sommeil

    Pour le commun des mortels, le jour est fait pour travailler et la nuit pour se reposer en passant un bon moment de sommeil. Ce moment est constitué des phases essentielles pour aboutir à un repos plaisant. L’endormissement, le sommeil lent (léger et profond) et le sommeil paradoxal constituent en effet successivement les phases du sommeil. Vous vous posez certainement la question de savoir tout le mécanisme qui se déroule quand vous dormiez. Alors à travers cet article nous essayerons de comprendre les phases du sommeil et le cycle normal pour un sommeil réparateur. 

     

    Hypnose lyon

     

    Mécanisme du sommeil

    Comme déjà énuméré plus haut, le sommeil est essentiellement constitué de trois phases à savoir : l’endormissement, le sommeil lent (léger et profond) et le sommeil paradoxal. 

    Tout d’abord il est important de savoir ce qu’est être dans un état de sommeil. En effet, le sommeil est l’opposé de l’état de veille, qui est caractérisé physiologiquement par un état de ralentissement de certaines fonctions de l’organisme et pendant lequel la vigilance est suspendue. Cet état est sans perte de la sensibilité sensorielle. Ceci étant, vos organes de sens sont très bien fonctionnels. 

    Les phases que constituent le mécanisme du sommeil  sont caractérisés par : 

    L’endormissement

    Elle correspond à la période de transition entre l'état d'éveil et l'état de sommeil. La respiration ralentit et les muscles se détendent. Durant cette phase de demi-sommeil, les personnes peuvent avoir l'impression de « tomber » dans le vide ou de convulser. Elle dure généralement de 5 à 20 minutes (5 à 10 % du temps de sommeil). Plus de 30 minutes, il vous rappellera l'insomnie. Il est recommandé d'en parler à votre médecin.

    Le sommeil lent 

    Pendant la phase de sommeil lent, l'activité électrique du cerveau ralentit. Habituellement, lorsque vous êtes dans un état calme et éveillé, la fréquence de l'activité électrique dans le cerveau est de 8 à 12 Hz. Lorsque vous êtes endormi, l'activité électrique du cerveau est très lente, jusqu'à 1 Hz. dormir », a déclaré le Dr Mark Rey. Cette phase lente est constituée de deux phases importantes à distinguer :
     

    La phase de sommeil lent léger représente près de la moitié de votre temps de sommeil. Elle se caractérise par un ralentissement de l'activité cérébrale. A ce stade, on se réveille facilement.

    La phase de sommeil lent profond représente environ 20 % du temps de sommeil. A ce stade, l'activité cérébrale est très lente, la respiration et le rythme cardiaque sont réguliers. Les dormeurs tombent dans un état où le cerveau devient de moins en moins sensible aux stimuli externes (bruit, lumière, etc.). Il était alors difficile de se réveiller.

    Le sommeil paradoxal 

    Cette étape est également appelée sommeil paradoxal (REM) et représente environ 20 % du temps de sommeil. Par conséquent, l'activité cérébrale est plus intense, accompagnée de mouvements oculaires. Pendant le sommeil paradoxal, il y a une activité électrique dans le cerveau de l'individu comme s'il était éveillé ou presque endormi. Cependant, d'un point de vue comportemental, l'individu dort très bien et ses muscles sont paralysés. C'est pourquoi cette étape est d’ailleurs appelée sommeil paradoxal. 

     

    Quelle est la durée d’un cycle de sommeil ?

    Généralement, un cycle de sommeil dure environ 90 minutes et pendant la nuit nous pouvons compter environ 3 à 6 cycles. Mais ce nombre varie en fonction de l’âge et ne sont pas tous les mêmes. Par exemple, le temps de sommeil lent profond a tendance à diminuer avec le vieillissement.

    Le temps de sommeil peut être divisé en deux temps à savoir : la première moitié qui est particulièrement riche en sommeil lent profond alors que la deuxième moitié est particulièrement riche en sommeil lent léger et en sommeil paradoxal. 

     

    Lorsqu'on se réveille par exemple 20 minutes avant son réveil, il est préférable de se lever plutôt que de se rendormir et de démarrer un nouveau cycle. Le réveil risque d'interrompre un cycle et d'être trop brutal", 

     

    Quelle est la phase où le sommeil est le plus réparateur ?

    Le sommeil lent profond est la phase la plus réparatrice pour l'organisme. Pendant cette phase, le corps récupère le plus de la fatigue physique accumulée pendant la journée. 

    Par ailleurs, on rêve tout au long de la nuit, mais les rêves sont plus rares pendant le sommeil lent que pendant le sommeil paradoxal. En effet, c'est pendant le sommeil paradoxal que les rêves sont les plus abondants, les plus riches en imagination et constructif.

     

    Que faire si je n’ai pas sommeil (troubles du sommeil) ?

    L'insomnie peut entraîner des difficultés à s'endormir, à se réveiller plusieurs fois la nuit et à se réveiller trop tôt le matin. Si elle survient plus de 3 fois par semaine et dure plus de trois mois, elle est dite chronique ou sévère. Les personnes anxieuses ne peuvent généralement pas se détendre au coucher car elles répètent leur journée et leurs soucis. Les personnes stressées s'endorment à 4 ou 5 heures du matin. Enfin, les personnes déprimées sont souvent victimes de se réveiller tôt au milieu de la nuit.

     

    Pour y remédier, il vous revient de trouver la cause et de consulter un médecin pour le guérir. Si vous avez du mal à dormir, cela n'a pas de sens de rester éveillé plus de 20 minutes au lit. Mieux vaut se lever et faire autre chose. De même, il est conseillé de toujours se lever dès le réveil le matin. Enfin, les siestes dans la journée ne doivent pas dépasser vingt minutes.

     

    Comment éviter alors un sommeil troublé ?

     

    Voulez-vous un sommeil apaisant, sans trouble ? Alors voici quelques conseils qui vous permettrons de ^dormir sans être perturber :

    -      éviter tous les excitants le soir ; 

    -      ne pas faire un dîner trop grand et bannir l'alcool ;

    -      éviter de pratiquer du sport après 19 heures ;

    -      privilégier les activités relaxantes (musique, lecture) ;

    -      allez-vous coucher dès les premiers signes de fatigue (bâillements, yeux qui piquent…) ;

    -      dormir dans une chambre à température entre 18 et 20 °C.

    L'hypnose sur Lyon peut être une bonne solution pour retrouver le sommeil. 

  • Le stress post traumatique

    Le syndrome de stress post-traumatique (SSPT) est un trouble de santé mentale déclenché par un événement terrifiant, qu'il s'agisse de le vivre ou d'en être témoin. Les symptômes peuvent inclure des flashbacks, des cauchemars et une anxiété grave, ainsi que des pensées incontrôlables au sujet de l'événement.

    La plupart des personnes qui vivent un événement traumatique peuvent avoir des difficultés temporaires à s'adapter et à faire face à la situation, mais avec le temps et une bonne prise en charge personnelle, elles s'améliorent généralement. Si les symptômes s'aggravent, durent des mois, voire des années, et interfèrent avec votre fonctionnement quotidien, vous souffrez peut-être de SSPT.

    Obtenir un traitement efficace après l'apparition des symptômes du SSPT peut s'avérer essentiel pour réduire les symptômes et améliorer le fonctionnement. Si vous habitez à lyon, il existe des centre d’hypnose qui vous aident à dévélopper votre mieux etre.

     

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    Symptômes

    Les symptômes du syndrome de stress post-traumatique peuvent se manifester dans le mois qui suit un événement traumatique, mais parfois, ils n'apparaissent que des années après l'événement. Ces symptômes entraînent des problèmes importants dans les situations sociales ou professionnelles et dans les relations. Ils peuvent également interférer avec votre capacité à accomplir vos tâches quotidiennes normales.

    Les symptômes du SSPT sont généralement regroupés en quatre types : souvenirs intrusifs, évitement, changements négatifs dans la pensée et l'humeur, et changements dans les réactions physiques et émotionnelles. Les symptômes peuvent varier dans le temps ou d'une personne à l'autre.

    Souvenirs intrusifs

    Les symptômes des souvenirs intrusifs peuvent inclure :

    des souvenirs récurrents, non désirés et pénibles de l'événement traumatique

    revivre l'événement traumatique comme s'il se produisait à nouveau (flashbacks)

    des rêves ou des cauchemars troublants concernant l'événement traumatique

    une détresse émotionnelle grave ou des réactions physiques à quelque chose qui vous rappelle l'événement traumatique.

    Évitement

     

    Les symptômes d'évitement peuvent inclure

    Essayer d'éviter de penser ou de parler de l'événement traumatique.

    Éviter les lieux, les activités ou les personnes qui vous rappellent l'événement traumatique.

    Changements négatifs de la pensée et de l'humeur

    Les symptômes de changements négatifs de la pensée et de l'humeur peuvent être les suivants :

    des pensées négatives sur vous-même, sur les autres ou sur le reste du monde

    un sentiment de désespoir face à l'avenir

    des problèmes de mémoire, notamment l'oubli d'aspects importants de l'événement traumatique

    Difficulté à maintenir des relations étroites

    Sentiment de détachement vis-à-vis de la famille et des amis

    Manque d'intérêt pour les activités que vous aimiez auparavant

    Difficulté à éprouver des émotions positives

    Sensation d'engourdissement émotionnel

    Changements dans les réactions physiques et émotionnelles

    Les symptômes de changements dans les réactions physiques et émotionnelles (également appelés symptômes d'éveil) peuvent inclure les suivants :

    Être facilement surpris ou effrayé

    être toujours sur le qui-vive

    comportement autodestructeur, comme boire trop ou conduire trop vite

    Troubles du sommeil

    Difficulté à se concentrer

    Irritabilité, crises de colère ou comportement agressif

    culpabilité ou honte accablantes.

    Pour les enfants de 6 ans et moins, les signes et les symptômes peuvent également inclure :

    la reconstitution de l'événement traumatique ou de certains aspects de l'événement traumatique par le jeu

    des rêves effrayants qui peuvent inclure ou non des aspects de l'événement traumatique.

    Intensité des symptômes

    L'intensité des symptômes du SSPT peut varier dans le temps. Vous pouvez présenter davantage de symptômes de SSPT lorsque vous êtes stressé en général ou lorsque vous rencontrez des rappels de ce que vous avez vécu. Par exemple, vous pouvez entendre une voiture pétarader et revivre vos expériences de combat. Ou bien vous pouvez voir aux informations un reportage sur une agression sexuelle et vous sentir envahi par les souvenirs de votre propre agression.

    Quand consulter un médecin

    Si vous avez des pensées et des sentiments troublants concernant un événement traumatique pendant plus d'un mois, s'ils sont graves ou si vous avez l'impression d'avoir du mal à reprendre le contrôle de votre vie, parlez-en à votre médecin ou à un professionnel de la santé mentale. Obtenir un traitement dès que possible peut aider à prévenir l'aggravation des symptômes du SSPT.

    Si vous avez des pensées suicidaires ou si l'un de vos proches ades pensées suicidaires, demandez de l'aide immédiatement en utilisant l'une ou plusieurs de ces ressources :

    Communiquez avec un ami proche ou un être cher.

    Contactez un ministre du culte, un chef spirituel ou un membre de votre communauté de foi.

    Prenez un rendez-vous avec votre médecin ou un professionnel de la santé mentale.

    Causes

    Vous pouvez développer un trouble de stress post-traumatique lorsque vous vivez, voyez ou apprenez quelque chose à propos d'un événement impliquant une mort réelle ou imminente, une blessure grave ou une violation sexuelle.

    Les médecins ne savent pas exactement pourquoi certaines personnes souffrent du SSPT. Comme la plupart des problèmes de santé mentale, le SSPT est probablement causé par un mélange complexe de :

     

    Des expériences stressantes, notamment la quantité et la gravité des traumatismes que vous avez subis dans votre vie.

    des risques hérités en matière de santé mentale, tels que des antécédents familiaux d'anxiété et de dépression

    des traits hérités de votre personnalité, souvent appelés tempérament.

    la façon dont votre cerveau régule les substances chimiques et les hormones que votre corps libère en réponse au stress.

    Facteurs de risque

    Des personnes de tout âge peuvent souffrir du syndrome de stress post-traumatique. Cependant, certains facteurs peuvent vous rendre plus susceptible de développer un SSPT après un événement traumatisant, par exemple

    Avoir vécu un traumatisme intense ou de longue durée

    Avoir subi d'autres traumatismes plus tôt dans la vie, comme des abus pendant l'enfance.

    Avoir un travail qui augmente le risque d'être exposé à des événements traumatiques, comme le personnel militaire et les premiers intervenants.

    Vous avez d'autres problèmes de santé mentale, comme l'anxiété ou la dépression.

    Avoir des problèmes de toxicomanie, comme une consommation excessive d'alcool ou de drogues.

    L'absence d'un bon système de soutien familial et amical.

    Avoir des parents de sang souffrant de problèmes de santé mentale, notamment d'anxiété ou de dépression.

    Types d'événements traumatiques

    Les événements les plus courants conduisant au développement du TSPT sont les suivants :

    l'exposition au combat

    les violences physiques subies pendant l'enfance

    la violence sexuelle

    l'agression physique

    La menace d'une arme

    Un accident

    De nombreux autres événements traumatisants peuvent également conduire au SSPT, comme un incendie, une catastrophe naturelle, une agression, un vol, un accident d'avion, une torture, un enlèvement, un diagnostic médical mettant la vie en danger, une attaque terroriste et d'autres événements extrêmes ou mettant la vie en danger.

     

     

  • Engagé contre le sida

    Yann botrel

    En tant qu'élu, un mandat nous oblige à nous engager pour des causes citoyennes, quelque soit les opinions de chacun. Je suis adhérent de l'association ELCS, Elus Locaux Contre le Sida avec son fondateur, Jean-Luc Romeo Michel qui est de tous les combats, ceux qui font avancer la société.

    J'étais présent à l'hôtel de ville de Saint Etienne pour la sortie du guide annuel de l'association à destination des élus, professionnels de santé, malades, familles, médias... 

    Le Maire, Gaël Perdriau a rappelé qu'aujourd'hui 25 000 français sont porteurs du VIH sans le savoir. 

    La ville de Saint Etienne est moteur dans la prévention du VIH avec une politique de dépistages gratuits et toujours très engagée dans la lutte contre toutes formes de discriminations.

    Laura Ciniera, conseillère municipale déléguée est également Vice-Présidente de l'association. 

    Le site de ELCS