Cabinet Yann Botrel

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  • Hypnose et douleur - Hypnose Lyon

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    Soigner par l’hypnose, c’est aussi soigner un être en relation
    avec lui-même et avec ce qui l’entoure. La description de cette
    technique dépasse le but de cet article centré sur une approche
    pratique. Quelques éléments essentiels seront cependant
    évoqués en guise d’introduction avant de présenter un survol
    de la littérature et le travail clinique effectué auprès de patients
    souffrant de douleurs chroniques.

    L’hypnose est un état modifié de conscience où le patient est
    conscient de tout ce qui est dit et de tout ce qu’il se passe
    autour de lui. Ce n’est pas un état de sommeil comme le pensent certains patients.
    Les recherches effectuées ont permis de constater qu’à l’électroencéphalogramme
    et à l’IRM fonctionnelle, les changements observés dans l’état d’hypnose
    ne correspondent pas à un état de sommeil. L’hypnose permet de mettre
    en lien le conscient et l’inconscient et ainsi d’aller chercher des ressources à l’intérieur
    de soi-même. Cette démarche est ainsi active et consentante. C’est un
    outil complémentaire aux autres thérapies médicamenteuses et non médicamenteuses
    (physiothérapie, massages par exemple) dont bénéficie le patient.
    En état de transe hypnotique, le thérapeute va utiliser des suggestions, des métaphores
    (par exemple visualisation et ressenti d’un gant autour de la main pour
    diminuer des sensations désagréables entre autres), afin de proposer au patient
    de modifier son rapport avec la douleur, avec d’autres symptômes ou plus largement
    avec son environnement.

    Des signes propres à l’état de transe hypnotique permettent d’évaluer la suggestibilité
    d’un patient, comme par exemple la fixité du regard, la diminution du
    clignement des paupières, un changement de coloration de la peau du visage.
    Tout patient peut bénéficier de l’apprentissage de l’autohypnose, consistant
    à apprendre les techniques pour faire de l’hypnose seul à domicile : apprentissage
    de l’induction, emplois des suggestions et métaphores élaborées avec le
    thérapeute et sortie d’hypnose. Le but de cet apprentissage est de pouvoir utiliser
    cet état de façon constructive et thérapeutique. Par contre, la prise en charge
    hypnotique chez des patients non stabilisés psychiquement est contre-indiquée.

    Par une approche, demandant au patient de devenir un
    partenaire actif, il est possible de modifier son expérience
    douloureuse aux niveaux sensoriel, émotionnel, cognitif et
    motivationnel.


    Les buts de l’hypnose, et plus particulièrement la pratique
    de l’autohypnose, permettent au patient de retrouver
    un certain contrôle de la prise en charge de sa douleur,
    de mobiliser ses propres ressources et de retrouver une
    autonomie.


    Le but n’est pas de supprimer toutes les douleurs, il
    arrive
    même que l’intensité de la douleur ne diminue pas,
    mais que l’hypnose aide le patient à gérer sa douleur d’une
    façon nouvelle, plus constructive, lui permettant d’améliorer
    sa qualité de vie.

    Le cabinet Yann Botrel Saint-Genis-Laval proche Oullins, Pierre-Bénite, Brignais, Lyon, Charly, Millery, Vernaison, Givors, La Mulatière

  • Les risques méconnus du tabac - addictologie Lyon

    - Baisse densite minerale osseuse (H et F) et du risque de fracture du femur

    - Risque de positivite du Facteur Rhumatoide et de celui de PCR avec severite de

    l’atteinte pulmonaire associee

    - Risque de thrombose des arteres renales (risque d’infarctus renal) et favorise la

    dysfonction du greffon de rein (ou rejet). Accelere l’evolution vers l’IRC (HTA

    essentielle, nephropathie lupique, polykystose renale, nephropathie a IgA). Favorise

    hemorragie intra-alveolaire dans le syndrome de Goodpasture

    - Risque de cancer du rein et de la vessie

    - Risque de maladie de Basedow et ophtalmolopathie basedowienne (diminution de

    l’efficacite de son traitement). Cancer de la thyroide moins frequent chez le

    fumeur?

    - Risque de cancer de l’oesophage, estomac, pancreas, foie, colorectal.

    - Risque de RGO, fibrose hepatique, maladie de Crohn.

    - Risque de lesions precancereuses buccales et cancers de la cavite buccale ainsi

    que des VADS. Diminution da la frequence des aphtes et de la maladie de Behcet.

    - Maladie parodontale (risque de perte osseuse)

    - Risque de tumeur de Warthin (cystadenolymphome de la parotide).

    addictologue Lyon - addictologue Rhône - addictologue Oullins - Addictologue Pierre Bénite - Hypnose Oullins - Hypnose Lyon

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  • La cocaïne - dépendance Lyon

    Les effets recherchés de la cocaïne

    Sensation de bien être et d’euphorie
    Augmentation de l’énergie, disparition de la sensation de fatigue
    Idées de grandeur
    Tachypsychie
    Désinhibition
    Hypervigilance, augmentation de la concentration
    Anorexie, insomnie
    Augmentation de l’intérêt sexuel

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  • L'hypnose médicale - Oullins - Pierre Bénite - Saint Genis Laval

    L’hypnose médicale est une pratique qui utilise un état de conscience particulier, l’état hypnotique, dans un but thérapeutique. Déclinée sous différentes méthodes au fil des années, ses applications sont aujourd’hui nombreuses et elle s’intègre de plus en plus souvent dans la prise en charge globale des patients, y compris dans le secteur hospitalier comme à Oullins et Pierre Bénite au Centre Hospitalier Lyon Sud. 

     

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    Qu’est-ce que l’hypnose ?

    Le terme hypnose vient du mot sommeil en grec. Cette pratique très ancienne repose sur l’utilisation d’un état modifié de conscience proche du sommeil, appelé l’état hypnotique. Cet état se caractérise par un niveau de conscience différent de celui du sommeil ou de la veille. La définition précise de l’état hypnotique varie selon les auteurs au fil des siècles. Cet état est semblable à celui que vit une personne, lorsque toute son attention est portée sur une seule chose (état de concentration maximale qui fait oublier tout ce qu’il y a autour). Grâce à l’IRM fonctionnelle et aux dernières technologies de scanner (PET-scan), l’état hypnotique a pu être visualisé et caractérisé sur le plan médical.

    L’hypnose consiste à placer une personne dans un état hypnotique, soit par des suggestions directes, soit par des méthodes indirectes. Une fois dans l’état hypnotique, la personne hypnotisée dispose d’un champ de conscience élargi, qui lui permet, en lien avec l’hypnotiseur, d’accéder à de nouvelles possibilités pour affronter un problème particulier.

    L’hypnose médicale s’est développée plus récemment et utilise les principes de l’hypnose principalement à des fins antalgiques, sédatives et/ou psycho-thérapeutiques.

    À noter ! Une pratique proche de l’hypnose médicale, l’EMDR (technique de désensibilisation et de retraitement par mouvements oculaires) est une pratique développée à la fin des années 80 aux USA. Elle est utilisée dans le cadre de certaines psychothérapies, en particulier dans la prise en charge du syndrome de stress post traumatique.

    Bref historique de l’hypnose

    Si l’utilisation des états modifiés de conscience est très ancienne, l’histoire de l’hypnose débute réellement au 18ème siècle avec le médecin autrichien, Franz Anton Mesmer, puis avec les travaux du Professeur Charcot. Hypnotisme et magnétisme sont alors étroitement liés. A la même époque, le Père Gassner exorcise de nombreux patients pour les soigner.

    L’un des disciples du Docteur Mesmer, le marquis de Puységur mettra en évidence la capacité de certaines personnes à communiquer sous état hypnotique et à accéder à des capacités supérieures. Il qualifie alors l’hypnose de sommeil lucide et pose les premières bases de la démarche psychothérapeutique.

    L’un des personnages phares de l’hypnose, le psychiatre américain Erickson utilise au 20ème siècle l’autohypnose pour lutter contre les conséquences de sa poliomyélite. De l’hypnose directive pratiquée jusque-là, Erickson va développer un nouveau courant de l’hypnose, l’hypnose ericksonienne, qui met la personne hypnotisée au cœur du processus de guérison. Le patient doit de lui-même puiser dans ses ressources intérieures pour trouver une solution à ses problèmes.

    Aujourd’hui, différents courants d’hypnose coexistent toujours. L’hypnose médicale s’est développée à la fin du 20ème siècle et poursuit actuellement son essor.

    Les différents courants de l’hypnose

    La définition même de l’hypnose varie beaucoup selon les auteurs et les praticiens. Cette importante variabilité a permis la création et le développement de plusieurs techniques d’hypnose, qui coexistent toujours aujourd’hui :

    L’hypnose classique, directive, dans laquelle l’hypnotiseur exerce une action directe sur la personne hypnotisée. Actuellement, ce courant de l’hypnose est de moins en moins utilisé.

    L’hypnose ericksonienne, qui replace la personne hypnotisée au centre de la pratique hypnotique. La séance est non-directive et l’hypnotiseur est là pour accompagner le patient dans sa démarche. Ce courant est actuellement le plus pratiqué dans les pays occidentaux et est à la base de l’approche psychothérapeutique. Elle est très souvent associée avec les thérapies cognitivo-comportementales.

    L’hypnothérapie, qui correspond à l’utilisation de l’hypnose en psychothérapie, avec différentes approches, telles que :

    L’hypnoanalyse ou hypnothérapie analytique, qui associe l’hypnose et la psychanalyse.

    L’hypnothérapie onirique ou le rêve éveillé en hypnose, qui consiste à se laisser guider par des images tirées d’un rêve et par les suggestions de l’hypnotiseur.

    En ce qui concerne plus particulièrement l’hypnose médicale, plusieurs sous-catégories d’hypnose médicale sont distinguées, parmi lesquelles :

    L’hypnoanalgésie est l’hypnose à visée antalgique (antidouleur).

    L’hypnosédation correspond à l’utilisation de l’hypnose dans un but sédatif. Elle a pour objectif d’amplifier les ressources d’anxiolyse (destruction de l’anxiété) et d’analgésie (arrêt des douleurs) chez les patients. Elle est souvent associée à une sédation médicamenteuse.

  • Janvier sobre - Dry January à Lyon et en France

    C'est un concept qui nous vient de Grande Bretagne: "Le dry january" et qui se poursuit jusqu'à la fin du mois. Il s'agit de faire une pause sur sa consommation d'alcool après les fêtes. 

    Des études ont montré qu'un mois sans alcool permettait de détoxifier le foie. En effet, lorsque le foie reçoit de l'éthanol et que l'on cumule ces consommations avec une bonne table, les cellules hépatiques ont tendances à recevoir des dépôts de graisses qui peuvent provoquer des stéatoses hépatiques. 

     

    Dry January Lyon

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  • Hypnose et douleur

    La douleur serait à l’origine de près de deux tiers des consultations médicales, c’est pourquoi elle est l’objet de nombreuses études

     

    Douleur

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  • Comment savoir si on est dépendant ?

    Comment savoir si on est réellement dépendant d'une substance (ou d'un comportement) ? 

    Est ce que l'on en abuse simplement ? (mésusage)

    Est-ce que l'on peut maîtriser sa consommation ?

    D'une manière simplifiée, on est dépendant lorsque l'on est passé d'une consommation plaisir à une consommation besoin. Lorsque le produit ou le comportement a pris une telle place que cela devient quasiment le seul centre d'intérêt. Parfois ce sont les autres qui alertent. 

     

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